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 Histoire & Concept.

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AuteurMessage
Daïyen «
Fondatrice Reine Cacahuète 8D
Fondatrice Reine Cacahuète 8D
Daïyen «
Messages : 11
Date d'inscription : 01/10/2011
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MessageSujet: Histoire & Concept.   Histoire & Concept. I_icon_minitimeDim 2 Oct - 8:45

• PROLOGUE •


• Savez-vous ce que c’est de savoir des mois à l’avance que l’on ne sera plus de ce monde le moment venu ? Je ne le pense pas. Cependant, si mon histoire ou celle de mes amis vous intéresse je peux vous la conter…

• CHAPITRE I •

• Je suis né dans un petit haras, où ma mère a toujours vécu. Disons que de l’union de mon père, un entier noir de 8 ans, champion, et de ma mère, une bonne ponette d’obstacle, devait naquir un grand champion. Enfin, si cela avait bien tourné…
Car le «hic » c’est que je suis un nain. Quoi, vous ne me croyez pas ? Eh bien c’est pourtant la vérité. Quand je suis né, nos maîtres dormaient dans leur maison. Je suis resté auprès de ma mère toute la nuit, j’étais bien. Il faisait froid, mais la chaleur de ma mère et la paille, contribuaient à me réchauffer. Ce n’est que le lendemain à l’aube que mes maîtres me découvrirent. Il m’avait semblé qu’ils n’avaient pas les idées très claires. Au début, ils n’ont rien remarqué d’extraordinaire chez moi. Ils voyaient déjà leur élevage devenir célèbres grâces aux prestigieuses compétitions que j’étais censé remporter plus tard.
Le lendemain de ma naissance, un homme à blouse banche vint examiner ma mère. Il devait aussi remplir mes papiers. C’est là qu’il se rendit compte que je n’était peut-être pas normal…
Mais, il était encore trop tôt pour en tirer d’hâtives conclusions…
Je fut baptiser « Bubble Gum » allez savoir pourquoi… Mes maîtres espéraient que j’allais grandir et avoir une taille normale… Mais les mois passaient et je grandissais à peine. Il fallait se rendre à l’évidence : je serais toujours de trop petite taille pour pouvoir remporter des concours.

• CHAPITRE II •


Selon ma mère, peut importait que je fus, ou non, capable de devenir un champion, pour elle je serais toujours le vainqueur, quoi qu’il arrive. Bien que je fusse nain, il me fallait être dressé, pouvoir tirer des carrioles et être monter par des « petits humains ».
Je fus donc habitué à la selle, au licol, au filet, à donner le pied, à être respectueux et gentil…
J’étais docile si bien qu’à trois ans, j’étais devenu un poney fiable et qui redonnait confiance. C’est ainsi que je dus faire mes adieux à ma mère. Je fus vendue à un vieux monsieur qui promettait de prendre soin de moi, il aimait utiliser une petite carriole pour se balader, et je devenais son poney d’attelage. Je fus à ses services pendant 6 ans. Tous les matins, il m’appelais, j’étais logé dans une prairie -avec sa chèvre, Eglantine- j’accourait vers lui, j’aimais beaucoup cet homme. Peut-être était-ce parce qu’il avait toujours une friandise sur lui. Puis, nous partions ensemble nous promener, quand nous étions de retour le soir, il était heureux, et sa joie était contagieuse. C’est une vie qui m’a beaucoup manquée, par la suite.
Et, quand un matin il ne vint pas, je sus alors, que la vieillesse avait eut raison de la vie de mon camarade.

• CHAPITRE III •


Quand la famille de cet homme fut informée de son décès, on me confia à une femme snob, qui se moquait pas mal de moi. C’est à peine si j’avais eut assez de moral pour rester en vie… Quand elle en eut assez de vivre en ma compagnie, elle me donna à une petite fille, probablement sa nièce. Je devins son « jouet préféré ». Quand la famille de la petite dut déménager, je fus abandonné comme un vieux débris dans mon jardin, seul. Je pensais ne pas pouvoir tomber plus bas. C’était avant qu’une bétaillère passe par là et me vois seul. Elle recula et je fus chargé tel un carton de liège dans le camion. Nous étions nombreux trop nombreux. Ce qui me choqua quand je fus poussé dans ce camion, c’est l’odeur de la peur. Il me fallut plusieurs kilomètres pour comprendre le lieu où l’on se rendait… La bétaillère s’arrêta, les uns après les autres nous furent déchargés. On m’assomma.
Ce fut tout d’un coup le noir complet.

Mais je n’étais pas mort, quand je me réveillai, j’étais allongé dans une litière de copeaux.
Avais-je rêvé ? J’appelai ma mère. Pas de réponse. Quand je voulut me relever, une douleur traversa ma tête et m’obligea à me rallonger. Ce n’était donc pas un songe. Je restais un mois dans ce lieu. Dans les boxes voisins, mes compagnons du camions : Nous étions sauvés !


• CHAPITRE IV •


Lorsque, un mois plus tard, on voulut me faire monter dans un van avec un de mes amis, je refusai, j’avais peur et le souvenir du mois dernier était marquant, et, je ressentais encore la peur en moi. Mais l’on m’encouragea doucement et, je n’avais plus peur, je reprenais confiance, petit à petit.
Le trajet fut assez long. On faisait des pauses, cela sentait l’essence, je pouvais lire « station service » et « autoroute » sur les panneau qui se dressaient devant moi.
Quand nous arrivâmes enfin,et que l’on nous déchargea, je pris le temps de regarder autour de moi : c’était un délice pour les yeux.

Il y avait une cour, avec des boxes et de petits yeux curieux qui nous fixaient gentiment. Mon compagnon fut placé en face de moi. A ma gauche, il y avait une double ponette de robe palomino, je sus par la suite qu’elle se nommait : Prudance. A ma droite, il y avait un poney noire de même taille que ma voisine, il se nommait : Daïyen.
Ce fut dur de bien s’entendre avec eux, surtout avec le noir, doté d’un fort caractère. Mais au final, nous devînmes très bons amis. C’était un Poney Club, un endroit merveilleux.
Je me souvins d’une reprise. Moi, j’étais un poney très doux, et calme. Ce qui n’était pas le cas de Prudance et de Daïyen. Alors qu’ils galopaient, Daïyen en eut marre de se faire tirer dessus et de se prendre des coups dans le dos.
Un regard avec Prudance suffit. D’un seul coup, le brun et la Blonde partirent à fond la caisse, Daïyen ne cessait de donner des coups de culs, tandis que Prudance prenait des tournants serrès. Leurs cavaliers ne tinrent pas le coup et ce fut la chute.

Les deux amis se retrouvèrent au milieu de l’arène en riant, on mit une heure à les rattraper.


• CHAPITRE V •



Puis, il y eut l’incendie, ce fut terrible, mes amis réussirent à se sauver et voulurent m’aider je refusai, il était temps pour moi de rejoindre ma mère dans le ciel. Ils furent contraints de s’en aller. Alors qu’ils quittaient le lieu un craquement se fit entendre, et ce fut l’effondrement.

• EPILOGUE •


Ces chevaux sont ainsi devenus libre, finis les cours et les humains : c’est la liberté !



Alors qu’en dis-tu ? Vas-tu nous rejoindre ? Il ne tiens qu’à toi…

Histoire & Concept by Daïyen
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